La paisible vie domestique de Buck, un chien au grand cœur, bascule lorsqu’il est brusquement arraché à sa maison en Californie et se retrouve enrôlé comme chien de traîneau dans les étendues sauvages du Yukon canadien pendant la ruée vers l’or des années 1890. Buck va devoir s’adapter et lutter pour survivre, jusqu’à finalement trouver sa véritable place dans le monde en devenant son propre maître…

L’appel de la Foret adapté du roman de Jack London est sorti en France le 19 février 2020, le film réalisé en partie en image de synthèse, nous permet d’avoir un décor idéalisé et majestueux, notamment notre héro Buck. Nous suivons les aventures de Buck, qui évolue pour trouver son lui interne.

 Selon moi le réalisateur montre les différentes faces de l’homme envers un animal nous avons :

  • L’homme qui gâte son chien pour qui l’animal est synonyme de richesse,
  • L’homme qui se croit plus fort et qui le montre par la force, en battant et faisant peur pour être respecté. Il est prêt à tuer pour satisfaire son ego,
  • L’homme qui est amoureux et qui considère l’animal comme un être doté d’esprit et qui le comprend. D’ailleurs dans ce cas le chien lui rend bien,
  • L’homme opportuniste pour qui le chien et un outil de travail qui rapporte de l’argent, quand il ne le fait plus : il le jette,
  • Et enfin nous avons l’homme qui considère les animaux comme des enfants, il faut leur apprendre la vie et les laisser se débrouiller.

L’appel de la forêt est représenté par l’allégorie du loup sauvage, symbole de liberté, puissance et bonté, c’est lui qui guide Buck tous le long de ses aventures dans le grand Nord.

Il ne vous reste plus qu’à vous faire votre avis !